Marque : Canon                        Modèle : EOS 100        Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : Les EOS "à 3 chiffres" étaient destinés aux amateurs éclairés. Manifestement, le papy qui me l'a vendu s'était un peu surestimé puisque, selon ses dires, il ne l'a presque jamais utilisé (le presse-film comme neuf plaide à l'appui de ses assertions). Certes, il y a plus sexy que ces reflex en polycarbonate mais ils sont quand même aussi efficaces que fiables et vu le prix demandé et la composition de la sacoche j'ai déjà fait de pires affaires.

Il a été testé dans le "Chasseur d'images" N°137 de novembre 1991. Qualifié au début de l'article de "projet marketing" (ce qui ne me semble guère élogieux), il semble trouver grâce aux yeux du rédacteur par la suite puisqu'il finit par le trouver quasiment supérieur à l'EOS 10.

Sa caractéristique principale est d'utiliser des courroies crantées au lieu de jeux de pignons pour la transmission des mouvements ce qui diminue énormément le bruit de fonctionnement. La mise en route se fait par le sélecteur rotatif permettant aussi le choix du programme. Ce sélecteur étant muni d'une sécurité il est hélas bien difficile de l'actionner rapidement.

L'obturateur à rideaux métalliques défilant verticalement va de 30 secondes au 1/4000 et synchronise au 1/125. Il est muni d'un flash incorporé escamotable.

Je l'ai trouvé avec un zoom Canon 35-105 ouvert à 1:4.5-1:5.6 et un zoom Canon 70-300 ouvert à 1:5-1:5.6, un flash Agfatronic 221 CB, le tout dans une grande sacoche.

Avec le 35-105

Avec le 70-300

Testé : sans histoires.

A vue de nez on croirait un Morane Rallye. En fait, il s'agit d'un Bulldog produit par Scottish Aviation

Un Max Holste Broussard. A priori, ça ne bouffe QUE 90 litres à l'heure pour voler peinard quand les Commodores 180 utilisés uniquement pour tracter des planeurs (et donc "plein pot" les 3/4 du temps)  tournent autour de 40 litres

Ambiance "100 000 dollars au soleil" avec ce Berliet dans une exposition de véhicules anciens en Saône et Loire

L'Ain au niveau de Pont-de-Poitte. Je me demande s'il n'est pas encore plus bas qu'en 2018. Heureusement, le mois d'août 2019 bien arrosé a dû remettre ça à flot.

Un étang le long duquel je passe souvent. Ce jour là, il était squatté par une cinquantaine de cygnes. Bien entendu, dès que je me suis arrêté pour les photos ces sales bêtes ont cavalé à l'autre bout du plan d'eau. Heureusement que j'avais le 300 mm avec moi.

La reculée de Gizia vue d'en haut

Sur le chemin du retour

Une deuxième pellicule qui a fait du chemin.

Un château d'eau dans le Médoc pour changer un peu. Bizarrement, on est passé devant un paquet de château plutôt orientés vin mais c'est celui-là que j'ai immortalisé.

Ca doit être des daims autour de la citadelle de Besançon.

Des émeus, toujours à Besançon

Un babouin

Un alpaga ???

Au cours d'une sortie photo, j'ai appris que je me trompais en pensant que c'était la Seille qui coulait au fond de la reculée de Baume-les-Messieurs. En fait, c'est le Dard qui se jette dans la seille 3-4 kilomètres plus loin.

Pour une fois, j'étais au circuit de Bresse avec un 300 mm dans mon sac

Le même jour mais pas dans la même catégorie

La dune du Pyla depuis le Cap Ferret

Le bassin d'Arcachon