Marque : Konica                         Modèle : Autoreflex T3N        Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : Un joli petit reflex datant de 1976. 

Une mesure TTL avec une cellule CdS et un automatisme (débrayable) avec priorité à la vitesse. 

Obturateur à rideaux métalliques se déplaçant verticalement et donnant les vitesse du 1/1000ème à la seconde plus la pose B. La synchro flash est au 1/125ème. Au rayon spécialité, en plus du sabot contact, il y a 2 prises coaxiales recouvertes de leur petit bouchon noir sur la gauche du boîtier pour les synchros X et M. Un petit levier à coté de l'oculaire permet de clore le viseur pour éviter les entrées de lumière lors des poses longues. 

Un petit autocollant sous la semelle spécifie qu'il ne faut utiliser que les PX675 au mercure de 1.35V à l'exclusion d'autres piles de même format (alcalines 1.5V) sous peine de fausser les mesures d'exposition. De nos jours, c'est "Zinc-air" obligatoire.

Avec son Hexanon 50mm F1.7

Avec un zoom 65/135 ouvert à 1:4

Pour voyager "léger" j'ai fait toute la pellicule de test avec le zoom ce qui relativise le concept du voyage léger : l'appareil équipé de ce zoom doit frôler les deux kilos.

J'ai un peu joué avec les lignes

Le télé m'a permis une contre plongée moins violente que d'habitude quand on photographie la statue de Rouget de l'Isle

Décoration originale. En plus, ça tombe pendant la plus grande sécheresse depuis 2003

François embusqué au coin de la médiathèque de Lons-le-Saunier

Le pressoir de la place de la comédie à Lons-le-Saunier, déjà shooté avec mon Petri 7S

Pour un ancien rectifieur de filets il est des sujets évidents. Bon, ce filet n'a sûrement pas été rectifié. Perso, mon plus beau filet trapézoïdal à la rectifieuse à été un 18 x 24. J'étais déjà au BT quand la commande est arrivée c'est donc moi qui ai défini le filetage. Inutile de dire qu'avec un pas supérieur au diamètre il n'a pas été question d'utiliser un profil normalisé. J'ai commencé par mettre deux entrées de filets pour limiter le pas apparent à 12 mm. J'ai ensuite diminué la hauteur du filet pour garder un noyau raisonnable au centre de la vis. Ce que je n'avais pas prévu c'est que l'atelier s'est trouvé un peu juste en personnel et que le directeur de production viendrait me demander le service de reprendre la blouse et une rectif Reishauer pour assurer la production. C'est comme ça que j'ai rectifié ces filets hors norme. Jamais je n'avais enlevé autant de matière à la meule. En ébauche je prenais 2 mm par passe ce qui est franchement énorme on a plutôt l'habitude de compter en dixièmes en rectifiant des filets. J'ai du faire une douzaine de vis, vous auriez vu la gueule du bac à copeaux, le nettoyage a été épique.

L'article qui lui a été consacré dans l'annuel Photo-Ciné de 1971