Marque : Pentax                          Modèle : SF7        Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : 1988 selon Sylvain. Manifestement, ce reflex n'a pas déchaîné les foules. Pas la moindre mention dans ma collection de "Chasseurs d'Images". Faut dire qu'il a pas un physique facile. Et susceptible avec ça : pas moyen de lui faire dire autre chose que "y'a pas de pellicule dans l'appareil". Je le sais ça, banane, puisque je veux voir comment ça marche avant de mettre un film. Mais bon, on va bien finir par s'entendre (je vais lui refiler une pelloche périmée depuis 1982 et il fera moins le malin).

En dehors de son look qui ferait passer un char soviétique pour le dernier coupé sport à la mode il est caractérisé par un écran à LED au-dessus du prisme censé informer son utilisateur sur ce qui se passe ("y'a pas de pellicule dans l'appareil" gna gna gna !) et un sabot flash décalé vers la droite (yeux rouges, tout ça ...)

L'obturateur est à rideaux métalliques défilant verticalement.

Bon, j'ai mis un film dedans et il fonctionne tout à fait raisonnablement. On peut juste lui reprocher l'indigence des modes proposés : Un bouton pour sélectionner "Programme" et "1/250". Ca laisse peu de place aux choix esthétiques. Un deuxième bouton permet de choisir entre vue par vue, rafale ou retardateur. Les deux boutons une fois pressés demandent une action sur la molette visible au dessus du déclencheur pour changer de mode. Vu le peu de choix disponible pour les deux menus il aurait été bien plus logique que chaque pression sur un bouton passe au choix suivant mais bon, la simili roue codeuse devait faire bien dans la doc.

Il y a un flash intégré qu'il faudra que je pense à tester.

Je l'ai trouvé avec un 50 mm autofocus ouvrant à 1/2.8.

Flash déployé

Bon ben j'ai fini la pelloche et, comme disaient les vaudois autrefois : "Déçu en bien !" L'autofocus est raisonnablement efficace et la mesure de lumière plutôt juste. En plus, j'ai été un peu moins minable que d'habitude pour mes cadrages.

Une grille fermant un joli jardin ancien dans Lons-le-Saunier

Quel que soit le deux roues, le port du casque est indispensable :-)

Tant qu'à aller faire un marché dans le parc de ce beau manoir, le brocanteur a sorti sa plus belle camionnette. Il ne doit pas rester des masses de 203 bâchées en circulation.

Une porte ancienne dans Lons. Ce qui m'avait attiré était la plaque "Gaz à tous les étages" mais avec mon cadrage on ne la voit pas beaucoup.

Celle-ci, ce sont les deux angelots.

Je sais que c'est à Chalon sur Saône mais est-ce une église où une cathédrale, mystère (pour moi en tout cas). Bon, ça me parait grand pour une église.

Vue imprenable sur la médiathèque de Lons.

C'est gentil les sorties de club photo mais il y a du photographe au m2 (Moi, je suis le blouson rouge à droite)

Un petit close-up sur les moulures du miroir

Un truc spécial à Lons : l'arcade Eifel qui sort des ateliers du même nom. C'est la seule arcade de Lons à n'être pas en pierre.

Je suis toujours scié par la patience des anciens

Terrasse dans le vieux Lons.

Le puit salé à Lons-le-Saunier-