Caractéristiques : L'original du Nikonos. Je n'ai pas sorti les tournevis pour vérifier la mécanique mais, visuellement, les deux appareils sont très très proche les deux plus grandes différences étant le revêtement imitation peau de phoque et l'objectif SOM Berthiot (sur mon Nikonos II la molette de rembobinage du film a cédé la place à une manivelle quand même plus pratique). Dernier changement, je m'inquiétais de l'utilité d'un bouchon sous la semelle qui avait tout à fait l'aspect d'un couvercle de pile. Sur un appareil entièrement mécanique ça peut surprendre. En fait, il s'agit de la connexion du flash
C'est quand même pas tous les jours qu'un mastodonte mondial de la photographie vient faire ses emplettes chez un petit fabricant français.
On a vite tendance à faire cadeau au commandant Cousteau de la paternité du Calypso. Il s'est contenté de le faire produire par Atoms à Nice et distribuer par la Spirotechnique qu'il avait créé. L'étude est due à un ingénieur Belge : Jean de Wouters.
Bernard Vial le donne assez rare (4 sur une échelle de rareté de 1 à 5)
Avec le viseur pour la plongée et le cache objectif qui est le seul endroit ou on voit le nom Calypso Phot
Les deux faux jumeaux ensembles
Ca y est, j'ai testé. Bon, vu le temps gris de février il n'y a pas trop de photos qui pètent mais l'appareil ne doit pas y être pour grand chose. Par contre, c'est plutôt sympa d'emploi. Juste une petite angoisse au moment de rembobiner la pellicule : ou est-ce qu'on appuie pour libérer l'avancement ? Réponse facile : on appuie nulle part, il suffit de tourner la molette.
Petit barrage sur la Sonnette pour alimenter le bief de l'un des moulins du village.
La rue des arcades à Louhans. En ce lundi d'hiver on ne peut pas dire qu'il y ait trop de marchands et de clients. En été on ne met pas un pied devant l'autre tellement c'est blindé (autant dire que je n'y mets pas les pieds en été)
Quand homme blanc couper beaucoup bois ...
Il est à la page 63 de
et à la page 427 de
Il figure à la page 147 de