Marque : Canon                                 Modèle : AT-1        Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : Boîtier 24 x 36 reflex de 1977. Sylvain le donne fréquent sur les vides-greniers mais je n'en vois pas tant que ça (ou alors je les confond avec l'AV-1 que j'ai déjà)

Il était pas bien propre et ne déclenchait pas (ce qui n'a rien de surprenant avec un obturateur piloté par l'électronique). Du coup, je l'ai négocié à un prix un peu élevé pour un presse papier mais intéressant s'il fonctionnait.  Bilan : je n'aurais pas un presse papiers supplémentaire.

Je l'ai eu avec le 50 mm ouvert à 1/1.8 qui était "standard" avec cet appareil. L'obturateur donne les vitesses de deux secondes au 1/2000 et une pose B. Un levier pivotant autour du bouton de déclencheur peut occuper trois positions : Déclencheur bloqué, libre et retardateur électronique de 10 secondes. Un autre truc pivotant autour de la manivelle de rembobinage permet de mettre l'appareil sous tension et de contrôler le niveau de la pile qui, comme sur le AE-1 se cache sous le mini grip en dessous du déclencheur. De l'autre coté de l'objectif on trouve le poussoir de fermeture du diaphragme.

Pour la mesure de lumière pas d'automatisme, juste une aiguille droite donnant la luminosité et une autre terminée par un cercle qui suit les variations de vitesse et d'ouverture. Quand les deux sont superposées c'est bon. Simple et de bon goût (c'est aussi le système des Minolta SRT).

Il était bien protégé par une bonne couche de crasse mais avec mon traitement habituel (produit à vitre pulvérisé avec modération et de loin, brosse douce, chiffon microfibre puis Miror au coton-tige et re-chiffon microfibre c'est pas mal.

J'ai testé. Ben y'a un problème ! Manifestement le dispositif qui retient le second rideau pour les vitesses lentes prend son temps. Du coup, il me manque la moitié des photos (ça m'étonne un peu, il me semblait avoir identifié le problème plus vite que ça. Il y a peut-être autre chose)

Normalement, c'est un abreuvoir automatique pour les vaches. Dans mon jardin c'est pour les oiseaux.

Un banc au bord de l'étang du Louvarel.

L'église de Saint-Amour.

Mes pêchers qui sont nettement plus efficaces pour les fleurs que pour les fruits. Tous les ans ils choppent la "tordeuse" qui ratatine toutes les feuilles. Un livre consulté pour trouver le remède m'a laissé peu d'espoir : en résumé "s'évite en plantant dans un terrain convenable pour les pêchers".

Cerisier (si je ne dis pas d'âneries).