Marque : Kodak                                            Modèle : Instamatic 50     Format : 126

 

Caractéristiques : Il y a  plus d'un demi siècle (et oui, déjà) Kodak, inquiet du développement des marques Japonaise, a frappé un grand coup : En février 1963, il révélait au monde la teneur de son « Project 13 » : une nouvelle cartouche « drop-in » (en français « lâchée-dedans », ça sonne un peu moins bien) et une gamme d’appareils photos pour aller avec.

D’abord l’Instamatic 50 puis, en mars les Instamatic 100, 300, 400 et 700.

Pas un seul autre format n’a rencontré d’emblée un tel succès. Kodak proposait des appareils simples à utiliser et raisonnablement performants. Il revenait aussi à son axiome de base : un petit nombre de clichés par film pour que l’amateur puisse voir rapidement ses images.

En 1970, Kodak avait déjà vendu plus de 50 millions d’Instamatic. Face à cette déferlante, les autres constructeurs ont du se résigner à acheter la licence pour pouvoir produire des 126. Même Agfa, le concurrent historique a du manger son chapeau et, malgré une héroïque résistance de sa cassette Karat rebaptisée Rapid pour la circonstance, se lancer dans la production d’Agfamatic.

 

J'ai trouvé le mien dans sa boite d'origine (un peu fatiguée) avec son flash dédié (le sabot est spécifique n'et pas franchement rationnel : aller s'embêter à mettre 2 contacts au lieu de se servir de la masse comme les sabots classiques, quelle drôle d'idée). J'ai aussi eu les 2 modes d'emploi, ce qui me permet de savoir que le bouton en façade permet de choisir entre 1/90ème et 1/40ème (synchro flash au 1/40ème) et que la prise de vue ne sera nette qu'au delà de 1.20 mètre.