Marque : Konica                         Modèle : Autoreflex T4       Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : C'est le successeur de l'Autoreflex T3 (en même temps, vu le nom, ça peut se deviner), il date de 1977. 

Très proche du T3, il s'en distingue par la disparition d'une des prises de synchro flash (les flashes magnésiques devaient commencer à se faire rares), de l'obturateur d'oculaire et l'apparition d'un test de profondeur de champ et d'une possibilité de motorisation. 

Obturateur à rideaux métalliques se déplaçant verticalement et donnant les vitesse du 1/1000ème à la seconde plus la pose B. La synchro flash est au 1/125ème. Au rayon spécialité, en plus du sabot contact, il y a 2 prises coaxiales recouvertes de leur petit bouchon noir sur la gauche du boîtier pour les synchros X et M. 

Comme sur mes autres Autoreflex, un petit autocollant sous la semelle spécifie qu'il ne faut utiliser que les PX675 au mercure de 1.35V à l'exclusion d'autres piles de même format (alcalines 1.5V) sous peine de fausser les mesures d'exposition.

Avec son Hexanon 50mm F1.7

Avec son Hexanon 28mm F3.5

Avec un zoom Soligor 80-200 ouvert à 1:3.5

Testé. Ca faisait un petit moment que je me dorlotais avec des appareils tout automatiques, j'ai pu réviser les fondamentaux. Surtout que j'ai préféré bosser avec une cellule à main à cause du gag des piles devant faire 1.35 V. Mais bon, on y arrive.

J'allais accuser l'appareil de la bande noire le long du petit coté des tirages mais comme il y a les même sur les tirages de l'EOS1 faits en même temps il y a un truc du coté du labo.

Pour commencer, une de mes manies : un château d'eau. Celui-ci est à Pont-de-Poitte et il n'est pas exclu que ce soit le moins haut de France : on touche le bas du réservoir juste en levant la main. Pour le base-jump ça va pas le faire.

Dans le même village, vue depuis le pont enjambant la rivière d'Ain.

Le pont depuis l'aval. A gauche, c'est le début d'un bief alimentant une turbine électrique. A priori, il y en a une autre sur l'autre rive (j'ai eu la flemme de remonter jusqu'au pont pour traverser puis de redescendre la rivière pour vérifier).

Dernier rapide avant le grand calme : Après ces rochers c'est la retenue du barrage de Vouglans

La plus ancienne maison de Mâcon : la maison de bois.

La passerelle qui permet d'aller visiter les grottes de Baume-les-Messieurs (l'été parce qu'à la fin de l'hiver c'est moyennement praticable)

Le restaurant à coté de la cascade.

La cascade. Je n'avais pas de filtre pour une pose longue mais il y avait tellement d'eau que ce n'étais pas vraiment indispensable.

Un autre château d'eau pour finir. Celui-ci se trouve à Publy dans le Jura.