Marque :      Nikon                       Modèle :   D7000           Format Numérique "APS-C"

Caractéristiques : Défini lors de sa sortie comme "reflex expert en APS-C". C'est bien la première fois que j'achète un reflex numérique en brocante. Le vendeur est un copain, plutôt spécialisé dans la BD qui finissait de liquider un lot d'appareils photos. Comme je n'ai même pas mis un coup de chiffon à l'appareil depuis son achat, je vous laisse juger de l'état. Comme le prix demandé était fort raisonnable, je l'ai pris en deuxième boîtier et aussi dans l'idée de traîner mon épouse aux sorties photo du club.

Comme prévu, il a bien plu à mon épouse (sauf le poids et l'encombrement)

Un champ de coquelicots sur la route entre Lons-le-Saunier et Orgelet. Repéré en allant chez le kiné, nous nous sommes arrêtés sur la route du retour. On était pas les seuls, loin de là. Il faut croire que des coquelicots c'est devenu une attraction touristique.

Du coup, on a pris le chemin des écoliers pour rentrer en prenant des routes au hasard (avant de charger le GPS de nous ramener à bon port)

Une pivoine de mon jardin.

Mon neveu Mathieu installé au Canada s'est marié à l'été 2019 du coup, je n'ai pas pu repousser plus longtemps ma visite au Canada (l'idée de passer 8 heures dans un avion ne m'a jamais emballé). Nous avons donc passé une semaine à Montréal avant de gagner le Mexique en famille pour le mariage.

Pour moi qui habite un village de 250 habitants, ce genre de bâtisse est assez inhabituel

N'en déplaise au québécois leurs poids lourds sont quand même très américanisés. C'est surprenant et spectaculaire mais je pense quand même que les "cabines avancées" européennes sont un progrès.

Pris à la volée lors d'un croisement sur l'autoroute

Ca, c'est de la caravane.

Montréal depuis le Mont Royal

Un chipmunk qui nous tournait autour mais pas facile à photographier malgré mon 300 mm. Le flou sur l'oeil est dû à une branchette au premier plan.

Plus facile à shooter : les écureuils de Montréal. Plus gros que nos écureuils roux ils pullulent dans les parcs et même en dehors.

Impression mitigée au Mexique : ces grands hôtels poussés au milieu de nulle part avec leurs gazons verdoyants et une consommation d'eau et d'énergie monstrueuses me paraissent fort peu écologiques.

La-bas, ce sont des iguanes qui hantent les espaces verts. On a vite tendance à mitrailler.

Le manque de piqué de cette photo doit être un petit reste de la condensation sur la lentille frontale d'un objectif sortant d'une pièce climatisée pour la chaleur humide des tropiques. Pas sur que ce soit bien bon pour le matos tout ça ... (C'est un peu pour ça que le D750 est resté en France)

 

Autres animaux : les coatis plus difficiles à approcher, le 300 mm n'était pas de trop.

Petite baston

On a surpris une petit famille de "*je sais pas quoi" alors que nous allions en petit train manger dans un autre hôtel. Le conducteur du petit train ayant eu la gentillesse de s'arrêter j'ai pu dégainer l'appareil que j'avais à la main et mitrailler à la volée. C'est rapide un D7000 parce que les bestioles n'ont pas mis 8 jours à détaler.

Beaucoup d'oiseaux aussi.

Des mouettes "comme chez nous"

Moins courant : la frégate et son vol magnifique (surtout pour un ancien pilote de planeurs grandeurs et modèles réduits).

A coté, les pélicans donnent l'impression d'avoir un "cul de plomb" et traînent au ras du sol quand les frégates "font le plafond" (ce qui a l'inconvénient que la plupart de mes photos de frégates ne sont que des silhouettes).

Une paire de vautours

Celui-ci, moi pas connaître.

Il y a dans l'enceinte de l'hôtel un delphinarium. Ca me dérange quand même beaucoup des animaux sauvages condamnés à perpette pour distraire des touristes. Passant devant à l'heure d'un spectacle j'ai quand même fait quelques photos de ces magnifiques animaux.

Le petit câlin à la fin du spectacle

Difficile de passer 15 jours dans le Yucatan sans aller voir quelques temples Mayas. C'est bien joli mais qu'est ce qu'il y fait chaud.

Ek Balam

Les escaliers de Montréal sont du style "casse-gueule" mais à coté des escaliers mayas c'est du billard.

Perso, j'ai fait la montée et la descente debout en prenant juste la précaution de faire des zigzags pour augmenter la profondeur utilisable des marches et diminuer le pourcentage apparent de la grimpette (Pythagore a dit des trucs passionnants à ce sujet) mais je n'ai pas résisté à l'envie d'immortaliser 2 ricains plutôt "grandes gueules" en train de redescendre sur leurs fesses ou agrippés aux marches supérieures.

On a aussi fait le site de Tulum mais il est moins photogénique et je ne suis pas content de mes résultats (à part quelques oiseaux vus plus hauts)

La plage de Playa Del Carmen à une trentaine de bornes de l'hôtel

Moins bucolique : une machine à ramasser les algues. A priori, cela fait plusieurs années qu'un courant (El Niño je suppose) ramène sur le rivage des algues qui n'ont rien à y faire. Sur la plage de l'hôtel il y avait des dizaines d'ouvriers armés de râteaux, de fourches, de brouettes pour évacuer les algues. C'est un boulot sans fin car les algues se redéposent très vite. Là, c'est motorisé. Il y avait 2 machines en service sur la plage. Je trouve qu'elles font penser à la vieille Massey Ferguson avec laquelle je moissonnais les jours de fête de la batteuse à Cessy.

Coinçage de bulle

Bon, on était pas là pour rigoler mais pour marier les petits (en fait, le mariage avait déjà eu lieu au Canada et au Mexique c'est juste pour le folklore). Je ne mets pas les 200 photos faites à cette occasion : elles sont mieux dans l'album des mariés)

De toute façon, il y avait un pro. Notez la sangle qui lui permet d'avoir son reflex sur la hanche. J'ai acheté la même au retour et c'est d'un pratique incroyable.

Des photos prises par Sylvie au tournoi de badminton de Lons-le-Saunier. Elle avait bien un 35-105 monté sur son appareil et un 80-300 disponible dans le sac mais elle a plutôt fait des photos en plan large