La documentation sur le sujet est vraiment pauvre. Heureusement, un des "Iconomécanophile du Limousin" s'est lancé dans la rédaction d'un CD consacré au sujet que vous pouvez vous procurer à cette adresse
Les plus anciennes fonctionnent grâce à une pastille de sélénium qui produit une tension proportionnelle à l'intensité de la lumière reçue. Cette tension, mesurée par un galvanomètre est traduite en indications lisibles par le photographe lambda. Plus tard, ce sont des diodes CDS qui remplaceront le sélénium comme capteur de lumière avec la différence essentielle qu'elles modulent le courant au lieu de le produire ce qui oblige à utiliser des piles.
Normalement, les cellules CDS sont plus fiables que celles au sélénium dont l'élément sensible "s'épuise" avec l'âge (en fait, il semble que ce soit surtout le vernis conducteur utilisé pour fixer les connexions qui vieillit mal) mais en fait, le taux de survie me parait assez comparable entre les 2 technologies.
Gossen Lunasix-3 |
Gossen Sixtar |
Hama-cds-3 |
Sekonic Auto-Leader |
Yashica YEM35 Super |
Sekonic L98 |
Weimar Cds |
Minolta Autometer IVf |
Asahi Pentax Spotmètre |
Kalimar K-433 |
Gossen Sixon 2 |
Asahi Pentax Meter |
La solution la plus immédiate pour mesurer la lumière : des filtres de plus en plus opaques et porteurs d'un numéro. Le dernier numéro visible donne la valeur de luminosité.
Bewi Leica |
Lumy 1a |
Lumy 2a |
Practos Junior |
Sauf erreur, je crains que le Volomat reste longtemps seul dans cette catégorie ou l'utilisateur compare la partie la plus claire du sujet avec un filament incandescent faisant office d'étalon.
Volomat type 3 |
Là, l'élément sensible, c'est l'utilisateur. En fonction d'observations simple, des abaques plus ou moins compliquées permettent d'arriver à un couple vitesse ouverture.
Philips Photoflux |