Marque : Minolta                                 Modèle : X-500      Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : Petit frère du X-700. Testé dans le Chasseur d'Images d'avril 1983 et passé au test "50000 déclenchements" en octobre 1983.

Du classique : la bonne vieille baïonnette MD  et un obturateur plan-focal à rideaux textiles de la seconde au 1/1000. Il peut fonctionner en automatisme priorité à l'ouverture ou en manuel.

Comme sur les autres reflex Minolta de cette génération il y a un contact sensitif sur le bouton du déclencheur qui ne met la cellule en route que lorsqu'on a posé le doigt sur le déclencheur. C'est bien, ça évite de bouffer les piles si on a laissé l'interrupteur général sur ON

Je l'ai testé assez vite. Les photos sont un peu ternes mais je crains que le labo ne soit pas innocent sur ce coup là.

Port Gitana au bord du Léman

Une jeep croisée au détour d'un vide-greniers jurassien

La grille de la maison voisine

Ce panneau rouge sur ce fond bleu m'a tapé dans l'oeil.

Attention les bateaux : tous en mesure

Comment photographier à la fois le Léman et le Rhône

Un motoculteur Energic à la fête de la batteuse

Là, c'est un motoculteur SIMAR qui était fabriqué à Genève. Efficace mais redoutable : on ne compte plus les utilisateurs qui se sont fait choper les jambes. L'embrayage manquant totalement de progressivité ne fait pas de cadeau à celui qui a négligé de débrayer les fraises avant de reculer.

Le Landini de l'association. En gros, c'est la version italiennes des Lanz allemands et des Vierzon français. Mono cylindre semi-diesel de dix litres et demi de cylindrée. Semi diesel c'est parce que le gas oil ne s'enflamme pas spontanément mais qu'il a besoin d'un point chaud dans la culasse pour compenser un taux de compression un peu faible. C'est une "boule chaude" qui s'y colle : une pièce de métal traversant la culasse est vigoureusement chauffée à la lampe à souder pendant un quart d'heure avant de lancer le moteur. 

C'est là que se glisse le deuxième "détail" l'engin se lance à la main en tournant le volant visible sur le coté droit du tracteur. Comme il n'existe déjà aucun démarreur électrique susceptible de passer une compression il serait illusoire de tenter de le faire à la main. Du coup, l'astuce consiste à lancer le volant le plus fort possible à contre sens en espérant atteindre une compression suffisante pour que le fuel s'enflamme et que ce "demi temps moteur" suffise à lancer le moteur dans le bon sens. Inutile de dire qu'on ne le démarre pas pour aller chercher le journal au coin de la rue. C'est d'ailleurs la justification de l'état lamentable des volants moteurs : les dérouiller implique de mettre le moteur en marche puis de frotter à la toile émeri. Depuis que le cornac officiel de la bête s'est retiré de l'association à cause de problèmes de santé on arrive bien à trouver un volontaire capable de lancer la bête le jour de la fête mais ce n'est pas vraiment le moment de se lancer dans le nettoyage.

Toujours à la fête : le tronc utilisé pour le concours de passe-partout

Un canoë au bord de la rivière d'Ain à Pont de Poitte (Jura). Les piles sont des restes d'un pont pour un tramway local désaffecté il y a bien longtemps.

Une ruelle de Gevingey (39)

Un des hibiscus de mon jardin

Mon jardin du coté sans hibiscus (mais avec pommiers)