Caractéristiques : Celui-ci, j'ai du le laisser plusieurs fois dans les cartons de cette brocante. Faut dire que quand ça fait longtemps qu'on collectionne il vient un moment ou on a plus envie d'encombrer les étagères avec du basique. Pour être franc, c'est la trouvaille du Paul Lachaize Mecilux qui m'a incité à approfondir le travail de Paul Lachaize chez Fex Indo. Je dois avouer que je ne m'étais pas interrogé plus que ça sur la soudaine modernisation de l'apparence des appareils de la marque. En y regardant on voit bien la "période Kaftanski" suivie de la "période Lachaize". Il a été construit de 1969 à 1980. Comme son demi-frère le Safari il est d'une grande banalité et a été vendu à trop d'exemplaires pour avoir une valeur quelconque en collection. Le mien m'est venu avec sa boite d'origine, son mode d'emploi (en quatre langues quand même mais faut dire que la longueur du texte n'a pas du ruiner la marque en frais de traduction) et même un rouleau de Kodacolor II périmé depuis à peine 50 ans (septembre 1973)

Pour résumer, je dirais que le Comodor 127 est un Safari 127 auquel on a ajouté un flash magnésique constitué d'un logement sous le viseur avec un réflecteur en plastique brillant vaguement clipsé dans le logement, douille pour ampoule magnésique et un logement pour deux piles AA sur le dessus de l'appareil derrière le déclencheur. 

Pour des détails techniques follement détaillés comme les caractéristiques de l'objectif et de l'obturateur ne comptez pas sur moi : pas l'ombre d'un indice. Bon, je serais surpris que l'objectif doit plus "musclé" qu'un ménisque et l'obturateur sans armement ni sécurité anti double exposition n'offre qu'une vitesse qui doit tourner autour de 1/50.

Dans son coffret

Avec son quasi jumeau le Safari qui pousse l'air de famille jusqu'à avoir une trappe à piles totalement inutile sur cet appareil sans flash mais qui permettait de n'avoir qu'un moule pour deux appareils.

Figure à la page 63 de