Caractéristiques : Nikkormat à été la série "amateurs" de Nikon. Le FT est le premier du nom sorti en 1965 et produit jusqu'en 1967. Il est bien entendu fabriqué au Japon. Comme tous les Nikon de l'époque (et des quelques décennies suivantes) il est plutôt lourd. Le couplage du diaphragme fait appel aux fameuses "oreilles de lapin" sur l'objectif et au doigt mobile sur le boîtier. Depuis le temps que je chine (25 ans quand même) je n'en avais vu que des fatigués et hors de prix. Celui-ci c'est l'inverse : on à part une mini trace sur le prisme il pourrait sortir de sa boite et le prix était fort correct et il était livré dans un superbe sac d'époque en cuir (plus joli que pratique à mon avis).
L'obturateur plan focal à rideaux métalliques défilant verticalement permet les vitesses de la seconde au 1/1000 et la pose B.
L'objectif trouvé avec est un 50 mm ouvert à 1:2 qui, vu les "oreilles de lapin pleines" a du être acheté avec l'appareil. Il est muni d'un magnifique pare soleil métallique.
De profil avec son beau pare soleil
Je sais bien que ce n'est pas l'appareil qui fait les photos mais on peut dire qu'il me convient bien. Ca faisait très longtemps que je n'avais pas été aussi satisfait d'une pelloche. Je suis de plus en plus content du combo HP-4 Plus et révélateur Tmax. En plus j'ai enfin pris le temps d'aller rôder autour des grues du port de Chalon-sur-Saône et le sujet a tenu toutes ses promesses. Traité en couleur avec le Nikon F-601
Vers le château de Presilly
Un autre château de la région de Lons-le-Saunier, vers Voiteur. Les sous-sols ont abrité une boite de nuit dans les années 1970 1990 qui, manifestement évoquait des souvenirs à bien des visiteurs de ce jour-là. (pas à moi pour deux raisons : je n'habitais pas encore le coin et j'ai toujours détesté les boites de nuit)
Le "Pain de sucre", pas celui de Rio mais plus prosaïquement celui de Pyrimont pas bien loin de l'ancienne ferme familiale. J'avais découvert dans les années 1970 quand je me baladais sur les routes du coin sur ma mob avec mon copain Albert. A cette époque, seuls les locaux connaissaient car il fallait se glisser dans la broussaille pour y accéder. Le copain connaissait car c'était dans le "canton" SNCF ou bossait son père.
La cascade chutant sur le pain de sucre.
Le ruisseau qui fait son passage dans la roche.
Les restes d'un pont SNCF qui a eu des ennuis pendant la seconde guerre mondiale sans que je sache si c'est un coup de l'armée française en 1940, le la résistance ou des allemands lors des derniers combats.
L'étang du Louvarel
Une ancienne plaque publicitaire à Bassy.
Ancrage des câbles du vieux pont suspendu de Seyssel
Le pont