Marque : Canon                        Modèle : EOS Elan 7e        Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : Habiter et chiner à coté de Genève et sa myriade d'institutions internationales et de sièges de multinationales permet de trouver assez fréquemment des versions "exotiques" commercialisées au Japon ou aux USA.

L'EOS Elan 7E est la version US de l'EOS 30 vendu en Europe à partir de 2000. J'ai tendance à trouver le logo "Elan" plus joli et c'est un peu à cause de lui que j'ai acheté l'appareil.

Extérieurement, son look plastique et son poids plume pourraient le faire passer pour un bas de gamme comparable à l’EOS 500N mais le logo « Eye Control » et la baïonnette métallique sont là pour rétablir la vérité : il est plutôt destiné aux amateurs éclairés.

Dans le test de Chasseur d’images sont détaillés les divers emprunts au reste de la gamme Canon : le châssis de l’EOS50, les 7 capteurs AF de l’EOS300 et les calculateurs de l’EOS3.

L'obturateur va de 30 secondes au 1/4000. 

Le grip vissé sous la semelle permet de remplacer les 2 ruineuses piles DL123 par 4 AA disponibles à la supérette du coin.

La rafale monte à 4 images par seconde et la pellicule se rembobine en 5 secondes.

Je l'ai trouvé boîtier nu et j'ai emprunté un des zooms de mon EOS 500N pour la photo.

Je lui ai trouvé un petit zoom 135-400 Sigma qui ferait passer le Tair de mon Fotosnaiper pour un 50 mm.

A l'usage c'est franchement agréable. Une motorisation rapide et silencieuse, une sélection du point autofocus par l'œil plutôt efficace. Le tout avec un boîtier d'un poids raisonnable, j'ai beaucoup aimé.

Je l'ai utilisé pour le mariage de mon plus jeune fils : c'est quand même plus rapide que le Contaflex Super qui partageait mon sac photo avec le Canon.

Pas facile de faire des photos quand on est le père du marié.

A la sortie de la mairie, je n'ai même pas chercher à doubler les photos prises par la photographe pro qui bossait, J'ai joué avec les nuages de bulles remplaçant les grains de riz (c'est moins chiant à balayer et plus ludique)

Par contre, j'a "un peu tapé l'incruste" sur les photos de groupe. Comme je suis un gars bien élevé, je me suis abstenu de sortir le flash intégré pour déclencher les flashes de la pro mais c'est bien sorti quand même.

Mes deux fistons avec leurs épouse et future épouse

Avec l'autre beau-père qui arriverait presque à me faire passer pour quelqu'un de sérieux .-)

Les copines de la mariée. Admirez l'arc en ciel.

Je ne sais pas pourquoi mais quand un garçon parlait de "la petite robe bleue" les autres voyaient très bien de qui il parlait.

Audrey dans la mairie.

Mes deux petites nièce venues de San-Francisco avec leurs parents pour le mariage.

Deux corses et un marseillais dans leurs oeuvres le soir du mariage.

et le lendemain

Il y avait trois anciennes maisons sur une bosse à l'entrée de Montmorot. Pas de bol, la fromagerie à coté avait besoin de terrain pour s'agrandir (en même temps, le terrain était déjà à eux et les maisons aussi) elles ont donc été déshabillée des matériaux anciens réutilisables puis démolies. Je suis allé faire les photos in extremis. Bon, elles étaient sympa au niveau look mais je n'ai rien vu qui ressemble à de l'isolation. Qu'est ce que ça devait cailler là-dedans.

Je me suis vraiment demandé ce que cette niveleuse faisait en pleine campagne.

Je ne suis pas très "chien chien" mais celui ci qui attendait stoïquement dans la voiture de sa patronne la fin du vide-greniers m'a paru bien sympa. J'ai utilisé le 75-300 pour choisir mon cadrage pile poil comme je le voulais sans avoir à m'approcher.

Même objectif pour le Dakota "Breitling" sur un parking de l'aéroport de Genève.

Après avoir lutté longtemps pour trouver des angles évitant de cadrer les grillages, j'ai fini par traverser spécialement la route pour avoir le grillage "plein cadre"

La frontière Franco-Suisse à Versonnex. La borne daterait d'avant la révolution française que je n'en serais pas autrement surpris.

Dans l'ordre, le vieux pont suspendu de Seyssel, le barrage du même nom sur le Rhône, les maisons de Bassy et, perdue dans la brume de chaleur l'église de Bassy à coté de laquelle mes parents sont enterrés.

Un poulain. (Et quand il y en a poulain ...)

Le Henry Dunant passant devant la brocante de Nyon.

Autre vue de la brocante de Nyon

Un panneau égaré en plein bois.

Un de mes grands classiques : le vieux pont suspendu de Seyssel.

J'vous ai photographié des bonbons

Le chantier de l'extension Vacheron Constantin

Des cheminées

Des grues

Un manège sur la plaine de Plainpalais

La Neptune, une des deux dernières barques lémaniques encore à flot. Elles servaient à amener les pierres de Meilleries qui ont servi à construire Genève

Changement de coin avec cette statue photographiée dans le Jura

La brasserie "Le Strasbourg" à Lons-Le-Saunier

Un mur au bord du lac de Divonne

Un veilleur solitaire à l'entrée de Divonne

L'avant toit de la boite ou je bossais

Un magasin Kodak à Megève

Promenade à vélo

Boutons

Re le chantier de Vacheron Constantin

Et hop, encore une petite pelloche.

Un triporteur près de Lons-Le-Saunier.

Un scooter au même endroit.

Par une fenêtre du château de Voltaire à Ferney.

La chapelle dans le parc du château.

A gauche, des rames, à droite des pagaies. Aviron et Kayak sur le Léman.

Un petit tour en Haute Savoie au dessus de Thônes.

Un chalet avec ce qu'il faut pour chauffer cet hiver.

Un pont à Villars sur Thônes

La vallée descendant sur Thônes depuis les Aravis.

Une utilisation bizarre d'un VTT.

Le lac du Bourget vu de haut.

Derrière je dirais le col de la Faucille et devant Collex-Bossy..

Encore une nouvelle brochette de photos. Cet appareil est vraiment un plaisir à utiliser. Il est au moins aussi performant que mes Nikon F801, F801S et F90 mais en plus il pèse moitié moins lourd.

Une bonne série sur les vendanges dans le Jura.

Une jolie Triumph au centre de Lons-Le-Saunier.

Le détail d'une Peugeot 301 croisée à coté d'un vide-grenier.

La gare de Divonne-les-Bains, scrupuleusement entretenue selon les rigoureux préceptes du maire qui n'aime le patrimoine bâti que sous forme de ruines à sacrifier à la promotion immobilière. Il a déjà eu la peau de la salle des fêtes "années 30", la gare n'a qu'à bien se tenir. (C'est bon : la gare a "sauvé sa peau" mais sert de bureau de vente pour le programme immobilier qui a bien entendu vu le jour).

La photo n'est pas terrible mais cette rue barrée à destination du progrès ça m'a paru symptomatique de notre époque.

Un beau graph à Genève

Décidément, j'aime bien ce boîtier. Après une période d'appareils bien ch...ts à utiliser je l'ai ressorti pour une pelloche sans complication.

Des grilles dans le Jura

Cette grille là est livrée avec le chien vigie qui se tient en équilibre pour voir ce qui se passe dans la rue

A travers la grille, on voit le puit et la petite maisonnette. Si ça vous dit, elle est à vendre.

Juste à coté, un ancien pressoir qui a un peu souffert. En plus, il penche du mauvais coté et l'eau s'y accumule au lieu de couler par terre.

Une ancienne pompe dans le village

Par la fenêtre de l'escalier.

Je crois qu'il y avait un excellent ferronnier dans le village car les grilles et les balustrades sont souvent fort belles

Le voisin en train de tondre la pelouse

Un arbre isolé qui m'a fait de l'œil sur une petite route de montagne.

Avant de remonter en voiture, cette tache rouge dans tout ce vert ...

Un escalier de secours dans Lons-Le-Saunier

La rivière d'Ain à Pont-de-Poitte (Jura)

J'avais bien déjà le Nikon F90 en cours mais pour essayer de choper les jeux de deux chatons dans le jardin du voisin mon plus gros télé était le zoom Sigma en monture EF. J'ai donc chargé l'Elan 7 que j'ai mis sur pied devant la fenêtre.

Celui-ci ne se mêlait pas aux jeux des deux autres, il préférait explorer les toits

Je les ai regardé quelque temps gambader mais l'histoire finit mal. La dernière fois que je les ai vu ils étaient manifestement à la recherche de leur mère. Je serais bien allé leur porter à manger mais outre le fait que je n'étais pas sur qu'ils soient déjà sevré il aurait fallu que je saute la clôture du voisin avec une prothèse de hanche tout juste posée et j'ai préféré ne pas jouer au c...

Promenade à Annecy.

La façade d'un immeuble que je daterais de la fin des années 60.

Le toboggan du lac

Une ancienne fabrique d'horlogerie dans la vieille ville

Démonstration de gaminerie. Le nom de la boutique comporte une lettre de plus mais je trouve plus drôle cadré comme ça

Dans les Alpes

Je pense dans Sainte-Agnès quand je parcourais le village avec mes béquilles pour ma rééducation.

La voiture de notre jeunesse. Entre mon épouse et moi nous avons du en posséder 3 ou 4. Je pense que la nostalgie ne résisterait pas à un petit tour dedans : le confort spartiate et les difficultés pour y entrer et en sortir risquerait de bien faire ressortir les 40 ans accumulés depuis mais quand j'ai croisé celle-ci en me promenant dans le village je me suis fait un plaisir de la photographier.

 

Quand je me sens fainéant (et pressé de prendre un appareil avant de partir) c'est souvent l'Elan qui s'y colle. Encore une petite série.

Brocante à Chalon-sur-Saône. Rien trouvé mais il y avait un rassemblement de voitures anciennes sur le parking à coté.

Un HY Citroën (tiens, je remarque seulement maintenant le truc derrière qui doit être un Matra Rancho, le précurseur des SUV actuels. sorti trop tôt il a fait un quasi flop)

Une Dauphine et une deux chevaux. 

Une Honda 350. Là, la tireuse n'en a pas assez enlevé : j'ai vu le type reculer et rentrer dans le champ juste avant le relevage du miroir.

 

Une belle Traction avant.

Une berlinette Alpine A110. Qu'est ce que c'était petit comme auto. Le pédalier était décalé sur la droite pour laisser passer le passage de roue. On conduisait de travers par rapport à la route (comme sur la R8 d'ailleurs)

Une Simca 1100. J'en ai eu une, de la même couleur, achetée en catastrophe après m'être fait démolir la meilleure Mini que je n'ai jamais eu par une vieillarde très légèrement gâteuse. Une Mini de 1968, une des deux années avec les suspensions Hydrolastic. On passait sa vie au garage pour les faire regonfler à l'azote mais qu'est ce que ça tenait bien le parquet. C'est bien simple, 35 ans après je suis encore fâché de cet accident :-)

C'est la mécanique de la Simca 1100 qui se cachait sous la carrosserie en fibre de verre de la Rancho. C'est laid mais ça fait le boulot.

Pas celle là mais la version suivante "modernisée" a été ma première voiture (l'ancienne de mes parents). Qu'est ce que ça sous-virait cet engin.

Taunus 12M (la suivante portera le nom de Ford-Taunus)

Un escalier extérieur. Ma "déontologie argentique" m'a interdit de virer les fils parasites mais la tentation a été forte.

Que faire pendant que madame fait des essayages ?

La culture coûte cher ?

Toujours dans Lons-Le-Saunier un vieux bâtiment en brique au fond d'une cour.

Le chat des voisins rentrant de maraude. Même tout petit il passait ses journées à traquer les souris dans le champ voisin. Il pourrait quand même venir s'occuper de mes mulots.

Deux mois de températures négatives et les écoulement d'eau se changent en glace.

Sortie neige de l'APAJ

Définitivement c'est un de mes boîtiers préféré. Quand je ne sais pas quoi prendre de facile et fiable c'est sur lui que ça tombe.

Au cours d'une petite promenade en Saône et Loire j'ai bloqué sur les châteaux d'eau. Les architectes se sont pas mal lâchés sur le sujet et je les trouve assez photogéniques. Voici mes premiers essais. D'abord le même modèle à deux endroits différents ce qui ne facilite pas la localisation.

Savigny en Revermont il me semble.

La, je crois que c'est Bonnaud

Pas très loin de Louhans, celui-ci m'a bien embêté car il est très difficile de trouver un endroit correct pour la prise de vue et en plus il devait être midi au soleil. Faudra que j'y repasse à une meilleure heure.

Un pont à Louhans.

La cheminée du musée Japy à  Beaucourt

Séance de portrait extrêmement glamour dans un studio perfectionné. En fait, le parking de la Liberté à Lons-le-Saunier. Il venait d'être nettoyé de fond en comble et la lumière des néons propres m'a paru utilisable. J'ai placé mon épouse au bon endroit rapidement et j'ai shooté vite fait avant que des passants ne s'interrogent sur ma santé mentale. Le résultat correspond assez à ce que j'avais imaginé.

Ayant croisé le Tour auto 2018 dans les rues de Lons-le-Saunier alors qu'exceptionnellement je ne traînais aucun boîtier avec moi je suis passé en vitesse à la maison prendre un boîtier avant de cavaler au circuit de Bresse pour une petite séance de rattrapage. Comme souvent dans les cas d'urgence c'est l'Elan 7e qui s'y est collé (avec mon Yashica Mat 124g  pour le N/B).

Il était déjà tard et je n'ai vu tourner que deux groupes dont le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils étaient hétéroclites.

Deux Panhard, une 24 CT devant et une PL17 derrière. Papa a eu une PL17 et je suis formel : ce n'est pas une voiture de course. 

Bon, manifestement, ça ne dérange pas trop son pilote qui m'a tout l'air de se placer à la corde pour passer la Jaguar XK140 en sortie de courbe.

En deux cylindres français, il y avait aussi une deuche mais, manifestement, là, c'est la Jaguar XK 120 Roadster qui "fait" l'intérieur.

Là, nous avons, dans l'ordre une Sunbeam Alpine, la Jaguar XK120 et une Fiat 600 dont le pilote n'amusait pas le macadam nonobstant la modeste cylindrée de sa voiture..

 

Encore un groupe spécial avec une R8 Gordini suivie par une Porsche et une Ferrari.

La deuche qui a fait le trou (bon, c'est par l'arrière mais personne n'est parfait)

Changement de sujet avec la floraison d'une de mes Glycines

Le pont de la Pyle sur la retenue du barrage de Vouglans.

Une Fiat 500 que nous croisons régulièrement un peu partout. Je me demande si je n'ai pas plus de photos de cette voiture que son propriétaire.

Une église dans un village du Jura

Un pommier (je crois) dans le même village.

Une nouvelle pellicule pour un nouveau jour de flemme. C'est marrant, je l'ai moins apprécié cette fois. Faut dire que je n'avais pas recalibré la sélection du point autofocus et qu'il a un peu fait ce qu'il a voulu.

J'ai bien aimé le porte-vélos moderne sur une traction.

Retour à Nyon

Chalon-sur-Saône

Un château dont j'ai oublié le nom